Vous étiez nombreux à souhaiter ce voyage, GAROM vous l’a proposé…
Il est maintenant COMPLET
Voilà l'aperçu programme qui attend nos passionnés ...
Jour 1 : MARDI 1er AVRIL : LYON > PARIS > NAPLES sur vol Air France
Jour 2 : MERCREDI 2 AVRIL : NAPLES HISTORIQUE
Visite guidée du centre historique de Naples, Spaccanapoli, entre la via Toledo et la via Duomo, dont les étroites rues rectilignes, héritage antique, sont jalonnées de palais et d’églises : nous nous intéresserons plus particulièrement ce jour-là à l’église du Gesù Nuovo et à ses environs, au Complesso di Santa Chiara, basilique gothique et magnifique cloître décoré de majoliques, à la Cappella Sansevero, étonnante chapelle baroque au Christ voilé, dédiée à la famille de Raimondo di Sangro, alchimiste et prince de Sansevero au XVIIIème siècle, à l’église de San Gregorio Armeno et à son amusante « rue des crèches ».
L’après-midi, visite du Musée Archéologique National, l’une des collections d’art antique les plus importantes au monde : nous verrons un ensemble exceptionnel de fresques et de mosaïques célèbres de Pompéi et d’Herculanum, le département des sculptures et peut-être le fameux « Gabinetto Segreto ».
Jour 3 : JEUDI 3 AVRIL : POMPEI > OPLONTIS
Nous consacrerons la matinée à l’incontournable Pompéi, ville ensevelie sous une pluie de pierres ponces lors de l’éruption du Vésuve en 79 après Jésus-Christ. Les fouilles, entreprises au XVIIIème siècle, révélèrent rues, places, édifices publics (amphithéâtre, théâtre, odéon, temples, boutiques…) et privés (la splendide villa des Mystères), toutes les composantes de la vie quotidienne des Romains.
Ensuite, nous parcourrons la baie sud de Naples et visiterons la jolie villa dite « de Poppée» (seconde épouse de Néron) : des fresques remarquables ornent les différentes pièces de ce vaste ensemble avec jardin et piscine.
Jour 4 : VENDREDI 4 AVRIL : HERCULANUM > PAESTUM > NAPLES
Visite d’Herculanum, plus petite, mais mieux préservée que Pompéi, nous offrira un excellent témoignage de l’antiquité : ensevelie sous la lave et la boue quand Pompéi disparaissait sous les cendres et les scories, elle se trouve sous la ville actuelle d’Ercolano et concentre dans l’espace forcément réduit des fouilles archéologiques, des vestiges émouvants et parlants : maisons, boutiques, thermes remarquablement bien conservés… et même squelettes des victimes de la catastrophe retrouvés dans des hangars autrefois en bord de mer.
Visite guidée des fouilles de Paestum..
Jour 5 : SAMEDI 5 AVRIL : COTE AMALFITAINE
La côte amalfitaine : En autocar jusqu’à Salerne, puis excursion en bateau le long de la côte. Arrêt à Positano, ancienne bourgade de pêcheurs aux petites maisons à l’allure mauresque et jardins en terrasse.
Continuation en bateau vers Amalfi, ancienne république maritime, où nous découvrirons le magnifique Duomo Sant’Andrea du IXème siècle avec sa façade en pierres polychromes et son imposant escalier.
Retour à Salerne en bateau, puis en autocar jusqu’à Naples.
Jour 6 : DIMANCHE 6 AVRIL : NAPLES > PARIS > LYON sur vol Air France
PRIX PAR PERSONNE : 1 590 € (sur la base de 20 à 25 participants minimum)
C’est en Suisse, dans le canton de Vaud, que s’est déroulé notre voyage d’Automne.
La petite ville d’Avenches occupe la vaste plaine de la Broye au nord du canton de Vaud, près de la frontière avec le canton de Fribourg. Le paysage doucement vallonné entre les lacs de Neuchâtel et de Morat, les vignobles en coteaux du Vully et les réserves naturelles invitent à la promenade à pied et à vélo. Avenches, l’ancienne capitale Aventicum de l’Helvétie romaine, est dépositaire d’un héritage unique datant de l’époque romaine.
Le dépôt archéologique des Sites et Musée romains d’Avenches renferme plus de 99% des objets mis au jour lors des fouilles sur le site d’Aventicum. Mosaïques, peintures, inscriptions, blocs d’architecture, objets de toutes sortes (verre, métal, os, céramique, etc.) y sont entreposés et étudiés par les archéologues.
Les thermes publics, véritables complexes de loisirs comprenant bassins, saunas, locaux de massage et salle de repos, faisaient partie intégrante du paysage architectural monumental d’Aventicum, où l’on recensait plusieurs établissements thermaux, dont le plus imposant à proximité du Forum.
Le Musée romain est installé dans la tour érigée sur l'amphithéâtre au 11e siècle. Les plus importantes découvertes sur le site d’Aventicum illustrent l’histoire de la capitale de l’Helvétie romaine : copie du buste en or de l’empereur Marc Aurèle, sculptures, mosaïques, inscriptions sur pierre, fragments d’un orgue romain, etc.
Le Laténium est le plus grand musée archéologique de Suisse.
Son exposition permanente présente quelque 3 000 objets et autres vestiges archéologiques issus de trouvailles réalisées essentiellement dans le canton de Neuchâtel, sélectionnés dans les collections du musée, qui comprennent plus de 525 000 pièces. Beaucoup de ces objets appartiennent à des ensembles archéologiques régionaux qui font office de référence internationale dans le domaine de l'archéologie, permettant notamment d'exemplifier près de 50 000 ans de préhistoire de l'Europe. Ce musée prend donc place dans un canton particulièrement fertile et important pour l'archéologie suisse et européenne.
Le musée romain de Vallon
Les principales découvertes du musée sont les vestiges d'un établissement dont le plan connu en forme de L mesure 160 m de longueur par 20 m de largeur. L'édifice se compose au total de trois corps de bâtiment flanqués d'un long portique de façade à colonnades et arcades qui distribue une quarantaine de pièces. Ont été également mis au jour, les deux mosaïques de la "venatio" et de "Bacchus et Ariane" intégralement conservées et une construction à trois nefs rythmée par quatre rangées de piliers à l'est.
En 2024, Garom organisait son voyage annuel au Portugal. Cette opportunité faisait suite à la participation au financement de la campagne de fouilles dirigée par Tony Silvino, (Service Archéologique de la Ville de Lyon) assisté de Christophe Caillaud (responsable de l’archéologie expérimentale au musée et sites gallo-romains de Saint-Romain-en-Gal).
Voir la page ARCHEOLOGIE pour en savoir plus sur les fouilles.
Source de la carte : Le Bien Public
Porto : La ville est située dans un magnifique amphithéâtre au bord du Douro. Avec de vieux quartiers encore intacts, dédale de ruelles tortueuses, églises superbes, maisons multicolores appuyées contre la falaise.
Des quartiers typiques du Cais da Ribeira, face au fleuve Douro, qui traversent plusieurs ponts. Le Pont Louis 1er, le plus spectaculaire, à deux tabliers, est le symbole de la ville. Classé au patrimoine mondial de l’Humanité, il a été conçu grâce à la technique de Gustave Eiffel.
La Cathédrale : construite sur la partie la plus haute de la ville, la Cathédrale de Porto, également appelée La Sé, est l’édifice religieux le plus important de Porto. Elle est située dans le quartier de Batalha, à côté des murailles qui protégeaient autrefois la ville. L’extérieur de l’édifice ressemble à une forteresse avec ses créneaux.
Braga : capitale historique, économique, universitaire et religieuse du Minho.
Entourée de collines, Braga est souvent surnommée « la Rome portugaise ». L’empire romain y a vécu et la Renaissance italienne a marqué de son influence bien des monuments. Son sanctuaire du Bom Jesus église de style rococo, renommée pour son double escalier, du musée archéologique et de la cathédrale.
Guimaraes : La ville porte avec fierté le titre de berceau de la nation. Elle a conservé de son passé prestigieux un air de vieille noblesse, avec ses majestueuses façades.
Conimbriga : Habité depuis la préhistoire, le site de Conimbriga a été occupé par les troupes romaines dès 139 avant JC.
On découvre des mosaïques très bien conservées parmi les plus belles de toute la péninsule ibérique.
Coïmbra : Sur les rives du Mondego, connue pour son université, la plus ancienne d’Europe, qui, au fil du temps, a marqué l’image de la ville devenue « cité des étudiants ». Sa porte d’Almediana et son Université avec sa Tour, et son incomparable bibliothèque Joanina aux décorations remarquables.
Le site archéologique de Castro Monte Mozinho
Le musée du Douro à Regua
Vila Nova de Foz Côa et ses gravures rupestres
Vale de Mir : Ses thermes romains
Amphoralis, à une douzaine de kms au nord de la capitale antique Narbo Martius, est un ancien atelier de production d’amphores gauloises, mis à jour dès 1976. Son musée surplombe les fouilles archéologiques d’une fabrique antique de poteries (Ier– IIIe siècle).
Il permet de découvrir la vie quotidienne et l’activité de ces potiers qui produisaient en masse des amphores vinaires, mais aussi différents matériaux de construction (briques, tuiles) et de la vaisselle du quotidien. Dans le parc, un parcours extérieur mène aux restitutions de fours et d’une habitation gallo-romaine, construits à l’identique des vestiges retrouvés. Le jardin des potiers présente plus de 160 espèces de plantes répertoriées par les agronomes latins. Elles y sont réparties en 5 usages différents : alimentaire, médicinal, condimentaire, ornemental et artisanal. Une promenade dans l’arboretum permet de découvrir des essences de bois utilisées à l’époque pour les cuissons des fours des potiers.
L’Horreum, au cœur de la ville moderne, se compose de galeries souterraines construites au Ier siècle avant notre ère et situées à 5 mètres au-dessous du sol. Elles devaient constituer les fondations d’un bâtiment, sans doute de type marché ou entrepôt, dont la recherche n’a pas encore découvert tous les secrets (horreum signifiant « entrepôt » en latin). Construit en surface, cet édifice se trouvait au sud du forum, en bordure du cardo (axe nord-sud) de la ville romaine de Narbo Martius. Ces galeries souterraines ont traversé les siècles moyennant divers remaniements et leur réutilisation partielle comme caves particulières. Signalées officiellement en 1838, elles ont été classées au titre des Monuments Historiques en 1961 puis aménagées et ouvertes au public en 1976. Avec les vestiges archéologiques du site du Clos de la Lombarde, l’Horreum est l’un des seuls monuments romains visibles et visitables au centre de Narbonne.
Narbo Via restitue le passé de Narbonne, capitale de la province de Narbonnaise sous le nom de Narbo Martius, dont il ne reste paradoxalement aujourd’hui presqu’aucune trace visible. Le bâtiment du musée Narbo Via a été conçu par l’agence internationale « Foster+Partners » associée au studio Adrien Gardère pour la muséographie et à l’architecte d’opération nîmois Jean Capia.
Véritable colonne vertébrale du bâtiment du Musée, un mur monumental composé de 760 blocs de pierre, issus pour la plupart des sites funéraires de la ville antique, restitue la mémoire et la monumentalité de la ville romaine et constitue une réserve ouverte et modulable, grâce à un dispositif automatisé inédit dans un musée. Réparti sur 2 600 m², le parcours présente la cité de Narbo Martius sous l’Empire romain, à travers plus de 950 pièces exposées, parmi lesquelles des vestiges monumentaux et des décors fastueux issus des maisons du Clos de la Lombarde, site archéologique narbonnais (mosaïques, peintures murales dignes de Pompéi). Véritable lieu de vie, Narbo Via est doté d’un auditorium de 192 places, d’une boutique, d’ateliers pédagogiques, d’espaces de recherche et de jardins pouvant accueillir des spectacles de plein air.
Cliquer sur les photos ci-dessous pour accéder aux sites Internet concernés.
Ce voyage de 6 jours permit de visiter quelques sites significatif de la civilisation romaine en Italie du nord et en Suisse. Cliquez sur le bouton à droite pour voir les photos.
SUSE : la ville, en position centrale de la vallée homonyme, s'est développée sur l'un des axes majeurs reliant la péninsule italienne à la Gaule. Elle possède un patrimoine important lié à son histoire. l’amphithéâtre romain, l’arc de triomphe et les remparts.
TURIN : la ville de Turin est entrée dans l'Histoire comme colonie romaine, vers 27 av. J. -C., sous le nom d' «Augusta Taurinorum». La ville fut construite sur l'établissement de Taurasie, Capitale mythique des Taures, incendiée par Hannibal lors de sa longue marche d'approche vers Rome.
IVREA : le long de quelques portions de la Route des Gaules, la voie romaine qui reliait la ville de Rome à la vallée du Rhône, les Romains ont défié la nature. Un exemple de ce défi se trouve dans la portion de Donnas, où la route a été taillée directement dans la roche, sur une longueur de 221 mètres. Un seul éperon rocheux a été laissé, dans lequel les Romains ont creusé un arc. Sur les pavés de la route, on peut encore admirer la borne milliaire XXXVI donnant la distance en “mille” entre Donnas et Aoste (environ 50 Km).
AOSTE : au Ier siècle avant J.-C., la population indigène vaincue, les Romains commencent à urbaniser le territoire conquis : ils mettent en place l'organisation foncière, tracent le réseau routier, reliant les cols alpins du Piccolo et du Gran San Bernardo à la route consulaire des Gaules, et fonde la ville d' Augusta Praetoria (Aoste). Ainsi commencèrent cinq siècles de domination romaine en Vallée d'Aoste.
MARTIGNY : catacombes de l’église paroissiale, Domus Minverva, Caldarium, Mithraeum, l’amphithéâtre et le musée gallo-romain.
GENEVE : le site archéologique de la cathédrale convie à une exploration du sous-sol de Genève. Plusieurs espaces ont été spécialement aménagés et présentent, avec des techniques muséographiques modernes, l’un des plus importants sites archéologiques du nord des Alpes. Le parcours commence ainsi au IIIème siècle avant J.C et s’achève avec l’édification de l’actuelle cathédrale entreprise au XIIème siècle.
Arc d'Auguste (Suse).
Ruine de l'ancien théatre Romain à Turin.
Susa Arena Romana.
Ponte Vecchio.
Turin.
Aoste.
Basilique paléochrétienne de St Laurent.
La route des Gaules et son arc